Elle le regardait prendre son casque, son sac et elle avait tellement honte, putain. Qu’il la voit dans cet état. Qu’il surprend ce mal qu’elle se fait subir soir après soir. Qu’il remarque à quel point elle s’est brulé les ailes. Qu’il réalise l’animal blessé, mourant qu’elle était. Elle passe non sans mordre ses lèvres pour retenir une plainte son bras derrière sa nuque. Ses bras autour de son corps, la chaleur du sien est surprenamment réconfortant. « Coucou, Jed. », son ton est mesuré seulement pour qu’il n’entende pas les échos de la douleur qui pulse dans chaque parcelle de son corps. Doucement, elle pose sa tête contre son épaule et son regard céruléens de quitte pas son visage. Détaillant ses traits avec minutie, cherchant une nouvelle ride, une nouvelle fossettes que son absence l’a empêché de voir naître.